Les 25 pires mots de passe de 2011

Les 25 pires mots de passe de 2011

Gardez toujours à l’esprit qu’un mot de passe est une mesure de protection essentielle et pas un plaisir sadique que les informaticiens prennent aux dépens de leurs utilisateurs. Par conséquent le choix d’un bon mot de passe est essentiel.

Les mots de passe

Les mots de passe sont un véritable casse tête : chaque service ou application y va de son mot de passe, avec des règles et contraintes différentes.
Par exemple, il n’est pas rare de devoir changer ses mots de passe régulièrement avec l’impossibilité de réutiliser le ou les précédents.
Tout le monde se retrouve donc avec une myriade de mots de passes différents et ils sont très vite soit oubliés, soit mélangés.
La tentation est donc grande d’aller à la facilité : des mots de passes faibles, courts, ou pire, populaires.

La société Splashdata a publié un article sur «les 25 pires mots de passe de 2011» révélant le palmarès des mots de passe les plus populaires aux Etats Unis pour l’année écoulée. Il est probable qu’en France le constat soit très proche…

Le palmarès de 2011

Dans l’ordre de popularité, les mots de passe ci-dessous sont les mots de passe les plus utilisés en 2011 :

  • password
  • 123456
  • 12345678
  • qwerty
  • abc123
  • monkey
  • 1234567
  • letmein
  • trustno1
  • dragon
  • baseball
  • 111111
  • iloveyou
  • master
  • sunshine
  • ashley
  • bailey
  • passw0rd
  • shadow
  • 123123
  • 654321
  • superman
  • qazwsx
  • michael
  • football

Si un de vos mots de passe est dans la liste, ne tardez pas à le changer, car ces mots de passe vont êtres une formidable cible pour les hackers.

La sauvegarde

Avec nos solutions de sauvegarde entreprise, nous fournissons à chacun de nos clients un mot de passe unique, complexe et généré aléatoirement.
Par mesure de précaution nous préconisons systématiquement de le changer afin de l’adapter aux standards clients et de ne pas devoir l’écrire sur un post-it pour s’en souvenir !

Pour vous aider dans cette tâche ardue, Nous vous recommandons d’utilisez les outils suivants :

Conclusion

Evitez les mots courants et les choses «trop évidentes».
Dans la mesure du possible, utilisez des mots de passe complexes basés sur des séquences que vous connaissez et choisissez un type de mot de passe par service.
Pensez qu’ils sont le premier rempart de la sécurité de vos données !

Datastore ESX sur partition NTFS

Sauvegarde de machines virtuelles VMWare

Si le système de fichiers VMFS vous paraît trop propriétaire pour y mettre vos précieuses machines virtuelles, sachez que vous pouvez créer vos datastores sur tout autre système de fichiers.

La problématique

VMFS est le système de fichiers natif d’ESX qui permet de stocker vos machines virtuelles. Il est aussi performant que souple mais totalement fermé et propriétaire.
Si cela vous ennuie, vous pouvez stocker vos VMs sur une autre machine avec un système de fichiers tiers et l’utiliser avec ESX via un simple partage de fichiers.
Nous avons même monté une maquette parfaitement fonctionnelle sur un disque NTFS.

Le matériel utilisé

Pour utiliser une partition NTFS comme datastore ESX, voici ce que nous avons utilisé :

  • Une machine sans disque exploitant ESXi embarqué sur une clé USB
  • Une machine «physique» sous Windows 2008R2 avec une grappe de disques RAID
  • Un switch gigabit et les câbles RJ-45

La mise en œuvre

La manipulation est extrêmement simple :
Pour commencer, nous avons crée un partage NFS sous Windows 2008 :

Sauvegarde de machines virtuelles

Puis, nous l’avons monté comme un Datastore dans ESXi :

Sauvegarde de machines virtuelles

Ensuite, et afin d’éprouver nos résultats avec des environnements divers, nous avons créé deux machines virtuelles différentes :

  • Linux Debian 5, version 64 bits, disque de 8 Go
  • Windows 7, version 64 bits, disque de 32 Go

Toutes deux sont hébergées dans le Datastore « 2008 » qui correspond au partage NFS mis en place sur le serveur Windows 2008 R2.
Une fois déployées, nous avons utilisé pleinement les machines virtuelles, les avons sauvegardées puis restaurées, le tout sans aucun problème ni difficulté !

Conclusion

Cette manipulation très simple nous a permis d’avoir directement la main sur nos machines virtuelles et surtout de nos affranchir du système propriétaire de VMWare.

A reproduire de toute urgence !

Portail de supervision de sauvegarde, version 1.0

Depuis sa mise en ligne, notre portail de supervision de sauvegardes a bénéficié d’un accueil très enthousiaste. Les retours ont été très positifs et les demandes de nouvelles fonctionnalités ne se sont pas faites attendre !

Portail de supervision

Notre portail de supervision de sauvegarde a pour vocation de permettre à nos utilisateurs de suivre leur activité de sauvegarde.
Ce projet de tableau de bord avait été motivé par certains utilisateurs qui souhaitaient, en plus de la supervision intégrée à l’application, pouvoir suivre leur activité de n’importe où.
L’idée était excellente et s’intégrait bien dans le cadre de nos offres de sauvegarde et dans notre démarche Sauvegarde Cloud.
La version du portail publiée en septembre 2011 était une pré-version (0.7) fonctionnelle, mais pas encore ce que nous attendions d’une version finale.

Mise à jour

Les retours et demandes sur la première publication nous ont encouragés à accélérer le développement des prochaines versions. Nous avons donc « mis le paquet » et publié la première version de production le 21 novembre 2011.
Voici la liste des nouveautés apportées :

  • Portail accessible aux adresses portal.arxone.net et portail.arxone.net
  • Design du login amélioré, avec deux drapeaux de langues (Français et Anglais)
  • Processus d’installation avec contrat de licence
  • Sélecteur de date pour superviser l’activité sur une plage temporelle spécifique et deux plages glissantes
  • Mise en préférence de la plage de date utilisée
  • Quelques nouvelles traductions et corrections mineures

Contact

Ce portail étant une fois de plus un projet motivé par nos utilisateurs, nous restons à votre écoute pour toute nouvelle demande de fonctionnalité.
N’hésitez donc pas à nous faire des propositions par le formulaire de contact de notre site Internet.

Sauvegarde : rétention temporelle ou par nombre de versions ?

Confidentialité des données de sauvegarde

Le mode de rétention de vos données peut vous sembler secondaire, mais ne vous y trompez pas, il a un impact direct sur la sécurité de vos données.

Définition de la rétention

En clair, cela signifie qu’un logiciel de sauvegarde de données va conserver plusieurs versions de vos données constituant un historique des modifications : c’est ce que l’on appelle la rétention.

Rétention par nombre de versions

La rétention basée sur un nombre de versions fonctionne de la façon suivante :

  • Chaque fois qu’un fichier est sauvegardé, il est référencé comme une nouvelle version.
  • Si le nombre de versions du fichier dépasse le nombre de versions autorisées, la version la plus ancienne est supprimée.

Cette méthode est extrêmement simple à comprendre et à implémenter : c’est au moment de la sauvegarde que le logiciel va gérer la purge des anciennes version.

Rétention temporelle

La logique de la rétention temporelle des données de sauvegarde est différente. Elle n’est non plus basé sur un nombre de version fini, mais sur des étapes temporelles.
Vous pouvez par exemple décider de garder toutes les versions de vos fichiers pendant une semaine, puis une seule version par semaine pendant un mois, puis une version par mois pendant 3 mois, etc…
Le processus de « purge » de données est donc différent :

  • Chaque fois qu’un fichier est sauvegardé, il est horodaté.
  • A une fréquence donnée, les serveurs de stockage vont scruter les versions disponibles du fichier et en fonction des règles temporelles établies (x versions par semaine, plus ancien que y mois, etc…), certaines versions pourront êtres supprimées.

Cette méthode, plus complexe à comprendre et à implémenter, permet d’obtenir un vieillissement plus homogène et granulaire des données.

Exercice pratique

Imaginons que nous ayons deux logiciels de sauvegarde différents :

  • Un logiciel A, qui utilise une rétention temporelle selon le modèle suivant :
    • Au bout d’une semaine, on ne conserve au maximum qu’une version par semaine
    • Au bout de quatre semaines, on ne conserve aucune ancienne version
  • Un logiciel B, qui utilise une rétention par version sur 10 versions

Notre sélection de fichiers contient deux fichiers :

  • Un fichier très critique « 1 », modifié et sauvegardé 3 fois par jour
  • Un fichier peu critique « 2 », modifié et sauvegardé 1 fois toutes les deux semaines

Le graphique ci-dessous représente la durée de rétention en jours pour chaque fichier et avec chaque méthode :

Sauvegarde serveur

Avec une rétention par nombre de versions, on constate que :

  • Le fichier 1 qui est très critique a une rétention réelle de moins d’une semaine
  • Le fichier 2 qui est peu critique a une rétention d’environs 5 mois

Avec une rétention temporelle, le constat est très différent :

  • Le fichier 1 (très critique) a une rétention de quatre semaines, avec la possibilité de restaurer toutes les versions sur la première semaine
  • Le fichier 2 (peu critique) a une rétention de quatre semaines, avec la possibilité de restaurer deux versions

Cela laisse clairement apparaître la faiblesse de la rétention par nombre de version : plus vos données sont critiques et modifiées fréquemment, moins la rétention est importante.
Plus simplement, la durée de rétention avec le mode « par versions » est inversement proportionnelle à la criticité du fichier ! Imaginez un tel système couplé à une sauvegarde continue des données…

Notre position

Lors du choix d’une offre de sauvegarde, il faut être particulièrement vigilant sur ce point technique.
Un mauvais choix vous empêcherait clairement de restaurer des données exploitables en cas de problème. Surtout que certains acteurs vous propose, sans aucune possibilité de paramétrage de votre part, une rétention limitée à… 3 version !
Lors de la conception de notre solution de sauvegarde, nous avons choisi d’implémenter une rétention temporelle afin de pouvoir vous assurer une sécurité et une « restaurabilité » optimales.

De plus, vous êtes totalement libre de paramétrer la stratégie de rétention de vos données : nombre de tranches de temps, durées des tranches, durée totale… C’est la solution qui s’adapte à vous, pas le contraire !

Enfin, il est légitime de se poser la question de l’impact de l’historique sur le volume de stockage. Concrètement, avec un mode incrémental par blocs associé à un bon algorithme de déduplication des données à la source, l’impact sur le volume de stockage est extrêmement faible.

N’hésitez plus, contactez-nous pour en discuter !

Monter un disque externe sous Linux Debian

Tuto monter un disque externe sous Linux Debian

A la suite d’un de nos récents articles, qui expliquait comment installer les VMWare tools sous Linux / Debian, il nous a été demandé comment monter un disque USB sous Linux.

Identification du disque

Commencez par lister les disques présents sur la machine avant de connecter le disque USBdebian ~# fdisk -l
Disk /dev/sda: 10.7 GB, 10737418240 bytes
255 heads, 63 sectors/track, 1305 cylinders
Units = cylinders of 16065 * 512 = 8225280 bytes
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disk identifier: 0x0001177a
Device Boot Start End Blocks Id System
/dev/sda1 * 1 1246 10005504 83 Linux
/dev/sda2 1246 1306 477185 5 Extended
/dev/sda5 1246 1306 477184 82 Linux swap / Solaris
debian ~#
Connectez le disque à votre machine Linux Debian, puis listez à nouveau les disquesdebian ~# fdisk -l
Disk /dev/sda: 10.7 GB, 10737418240 bytes
255 heads, 63 sectors/track, 1305 cylinders
Units = cylinders of 16065 * 512 = 8225280 bytes
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disk identifier: 0x0001177a
Device Boot Start End Blocks Id System
/dev/sda1 * 1 1246 10005504 83 Linux
/dev/sda2 1246 1306 477185 5 Extended
/dev/sda5 1246 1306 477184 82 Linux swap / Solaris
Disk /dev/sdb: 80.0 GB, 80026361856 bytes
255 heads, 63 sectors/track, 9729 cylinders
Units = cylinders of 16065 * 512 = 8225280 bytes
Sector size (logical/physical): 512 bytes / 512 bytes
I/O size (minimum/optimal): 512 bytes / 512 bytes
Disk identifier: 0xc5bbbf78
Device Boot Start End Blocks Id System
/dev/sdb1 1 9729 78148161 83 Linux
debian ~#

Montage du disque

Vous avez créé un répertoire « USB » à la racine de votre machine. Pour monter votre disque externe dans ce répertoire, deux possibilités s’offrent à vous :

Le montage avec spécification du point de montage : ce n’est pas très compliqué mais il faut spécifier la partition à monter et le répertoire cible où la monter.
Dans notre cas, cela donnerait ça :

debian /# mount /dev/sdb1 /USB
debian /#

Le montage avec modification du fichier fstab : l’idée est de ne plus avoir qu’à spécifier le nom de la partition à monter et qu’elle soit montée automatiquement toujours au même endroit. Ca tombe bien, le rôle du fichier fstab est de recenser les partitions et leurs points de montage associés.

Editons donc le fichier fstab avec notre éditeur de texte favoris (ici, nano) :# /etc/fstab: static file system information.
#
# Use ‘blkid’ to print the universally unique identifier for a
# device; this may be used with UUID= as a more robust way to name devices
# that works even if disks are added and removed. See fstab(5).
#
#
proc /proc proc defaults 0 0
# / was on /dev/sda1 during installation
UUID=990a9a0b-0855-4212-a4c9-bfda5c13107f / ext3 errors=remount-ro 0 1
# swap was on /dev/sda5 during installation
UUID=388cc568-eb9f-4b5a-a026-0803b3374c82 none swap sw 0 0
/dev/scd0 /media/cdrom0 udf,iso9660 user,noauto 0 0
/dev/fd0 /media/floppy0 auto rw,user,noauto 0 0
Il faut donc rajouter notre partition et le point de montage désiré à la fin de la liste :/dev/sdb1 /USB auto rw,user,noauto 0 0Ne vous préoccupez pas des options rajoutées après le point de montage, nous y reviendrons probablement dans un prochain article.

Une fois les modifications enregistrées, il vous suffit de demander le montage de la partition pour qu’elle soit automatiquement montée dans votre répertoire cible :debian /# mount /dev/sdb1
debian /#

Démontage

Une fois vos opérations terminées, vous pourrez alors démonter proprement le disque pour le débrancher :debian /# umount /dev/sdb1
debian /#

Arx One rejoint Ouest Numérique

Arx One rejoint Ouest Numérique

Ouest Numérique est la représentation de la filière TIC en Pays de la Loire. 0

Quelques chiffres

Pour la seule région des Pays de la Loire, la filière informatique représente :

  • 3055 établissements de fournisseurs de TIC
  • 2 milliards d’Euros de chiffre d’affaires consolidé
  • 26 623 emplois chez les prestataires implantés dans la région
  • 20 000 emplois dans les métiers de l’informatique chez les « utilisateurs » (privé et public)
  • 85% des entreprises comptent moins de 10 salariés

Il est donc indiscutable que l’informatique est un pan important du tissu économique régional, mais que « l’éparpillement » des compétences au sein des petites entreprises est un frein au développement des activités numériques. (source magazine Interactives).

Les objectifs

L’objectif fondamental de Ouest Numérique est justement de fédérer tous les acteurs du secteur régional afin de les aider à se développer. Cet objectif passe par quatre axes transversaux :

  • Métiers et compétences
  • Coopération (recherche-entreprise et inter-entreprises)
  • Visibilité des entreprises et valorisation du territoire
  • Développement marketing et commercial

Organisation

Pour fédérer efficacement les acteurs de la filière, elle a été organisée en groupes de travail :

  • Cloud Computing : Solutions à la demande
  • Open Data : Mise à disposition et réutilisation des données
  • L’Informatique Durable : Green IT et IT for Green
  • Logiciels Libres : Représentativité, Solutions
  • Innovation Web : Culture, Usages et Outils
  • Qualité Des Logiciels : Outils, Méthodes, Tests…
  • Décisionnel : Système d’aide à la décision
  • Ingénierie Logicielle par les Modèles : Conception et rénovation des SI…

Chaque groupe est piloté par une à deux personnes et travaille de façon autonome aux objectifs donnés précédemment.

Et Arx One, dans tout cela ?

Nos offres de sauvegardes sont toutes proposées sous forme de services, et la partie la plus importante de notre activité est la sauvegarde externalisée.
Il était donc logique que nous rejoignons le groupe Cloud Computing, au cotés d’hébergeurs, éditeurs de solutions à la demande, acteurs technologiques et prestataires de services.

Nous sommes persuadés que cette démarche sera gagnante pour tous, tant sur le plan humain que technologique. Nous ne manquerons pas de vous tenir informés des synergies découvertes !

Portail de supervision de sauvegarde

Nos solutions de sauvegarde de données ont été pensées pour le pilotage centralisé, pour simplifier la gestion au quotidien de parcs importants. Pour un pilotage efficace, il est indispensable de donner accès à une administration et à une supervision complètes de vos opérations de sauvegarde et restauration.

Pilotage des sauvegardes

Dans cette logique de pilotage centralisé, notre logiciel de sauvegarde de données permet d’administrer et de superviser l’activité des comptes au travers de son interface. Cette première réponse avait été bâtie en fonction des demandes de vos clients, mais elle nécessitait que chaque superviseur soit également utilisateur la solution de sauvegarde. Afin d’aller plus loin, nous avons décidé de créer un portail de supervision externe qui vient en complément de la version intégrée.

Portail de supervision

A présent, il n’est plus nécessaire d’utiliser le logiciel de sauvegarde pour superviser les opérations de vos serveurs et utilisateurs : nous avons développé un portail extranet qui vous permet de suivre l’ensemble de vos opérations. Ce nouvel outil vous permet de suivre précisément les points suivants :

  • Utilisation de l’espace disque
  • Systèmes d’exploitations utilisés
  • Historique des opérations (sauvegardes, restaurations, Smart Restore Check, etc…)

Vous pouvez consulter ces statistiques soit pour un compte donné, soit pour un groupe de comptes de façon consolidée.

Accès à la solution

Vous le savez, le service aux clients est au cœur de nos préoccupations. Aussi, nous avons décidé de fournir gratuitement l’accès au portail de supervision à tous les utilisateurs de la solution. Pour vous connecter, munissez vous des identifiants sauvegarde et connectez-vous sur http://portal.arxone.net. Vous pourrez suivre l’activité de tous les comptes associés au votre.
Le portail est fonctionnel dès aujourd’hui et a reçu un accueil très enthousiaste. Il va continuer à évoluer et à s’enrichir de nouvelles fonctionnalités.
Nous vous en tiendrons évidement informés !

Les solutions de sauvegarde sous iOS

Les solutions de sauvegarde sous iOS

L’engouement général pour les appareils utilisant le système d’exploitations iOS a favorisé l’éclosion d’offres de sauvegarde portées sur cette plateforme (iPhone et iPad essentiellement). Les solutions de sauvegarde sous iOS ont-elles un avenir suite à l’annonce d’iCloud ?

Retour sur iOS

En premier lieu, il est important de rappeler qu’iOS est une variante allégée d’OS X, destinée aux périphériques mobiles d’Apple, comme les iPhones, les iPods Touch et plus récemment les iPads.
Les données présentes sur ces périphériques mobiles sont de deux types :

  • Celles répliquées depuis l’ordinateur hôte vers le périphérique (bibliothèques audio et photo, contacts, calendriers et applications)
  • Celles générées par les applications présentes sur l’appareil

Dans les deux cas, elles sont synchronisées et sauvegardées lors de chaque connexion avec l’hôte, via le logiciel iTunes.
Ces appareils n’ayant pas pour vocation le stockage de données utilisateurs, ils ne proposent ni navigateur de fichiers et ni fonctionnement comme périphérique de stockage.

Quel est le risque de perte de données ?

En cas de perte, vol, destruction ou simple réinitialisation du périphérique iOS, vous pouvez restaurer l’appareil tel qu’il était lors de la dernière synchronisation.
Les données les plus volatiles, comme les mails, les contacts et emplois du temps, sont souvent synchronisés à la volée et sans fil par plusieurs solutions (Exchange server, MobileMe, Gmail, imap, etc…).

Cela signifie néanmoins que si vous avez pris des photos ou généré des données avec une application non connectée, vous avez un risque de perte de données entre deux synchronisations.

Ce risque est très faible, mais pour les personnes utilisant une application professionnelle non connectée, il existe.

Le cas iCloud

Lors de sa présentation du 6 juin 2011, Apple a présenté iCloud.

iCloud est un ensemble de services hébergés focalisés sur la synchronisation autour des périphériques iOS.

Dans ce cas précis, le service est une «synchronisation améliorée» car il propose une sauvegarde en ligne des photos et applications avec leurs données associées.
La nuance entre synchronisation améliorée et sauvegarde est importante, car elle ne propose pas de «versioning» des fichiers : elle ne garde qu’une seule version des données et les 1000 dernières photos. De plus, la sauvegarde est quotidienne et fonctionne en mode incrémental.
Cette solution permet donc, pour les périphériques iOS, de sauvegarder automatiquement en externalisé les données embarquées en faisant abstraction des versions multiples. Cerise sur le gâteau, elle est gratuite jusqu’à 5 Go…
iCloud vient donc combler un manque en éliminant le risque de perte de données sur iOS.
La solution est intégrée au système d’exploitation à partir de sa version 5 et les cinq premiers Giga-octets de stockage sont offerts. Avec de tels arguments, cette solution va automatiquement devenir incontournable sur cette plateforme.

Notre avis

Malgré l’image «cool» ou «tendance» des produits Apple, la marque à la pomme pilote un business gigantesque. Clairement, ce n’est pas une association philanthropique cherchant à faire des cadeaux à ses 200 millions d’utilisateurs iOS.
La gratuité est un mirage, qui cache des enjeux financiers colossaux. Le but n’est donc pas de vous fournir une solution de sauvegarde en ligne gratuite, mais plutôt de vous la vendre au delà de l’appât des 5 Go «gratuits».
Le coût très bas de l’hébergement au delà de cette limite est également représentatif de l’offre grand public : stockage à l’étranger (loin de notre chère CNIL qui veille à l’usage de vos données) sur un datacenter unique, pas d’engagements de résultat, ni d’assistance.
Comme toujours, nous vous encourageons à rester vigilants sur les offres de sauvegarde. Définissez précisément vos besoins et les limites que vous êtes prêt à accepter : criticité des données, engagements du prestataire, respect de la confidentialité, assistance et suivi…

Cela vous aidera à naviguer dans le foisonnement d’offres et vous évitera de tomber dans les pièges que peuvent représenter le gratuit ou le pas cher.

Nouveaux outils

Nouveaux outils

Le choix d’une solution de sauvegarde n’est pas simple et a un impact direct sur la sécurité de vos données. Afin de vous aider dans cette tâche notre site Internet vient de se doter de deux nouveaux outils.

Assistant d’offre de sauvegarde

Sauvegarde disques à disques, sauvegarde externalisée, sauvegarde managée…
Il n’est pas forcément évident d’y voir clair dans la jungle des offres pour un non spécialiste !

Nous avons conçu un outil qui vous permet d’exprimer vos besoins (Sites, répartition des données, volumes, etc…) et qui vous propose un type de solution adapté : proposition d’architecture, temps de transfert de données et même le budget !

Le tout en moins de 3 minutes, montre en main… N’attendez pas plus, il est ici : assistant de sauvegarde

Mesure de débit

Pour ceux qui souhaitent utiliser une sauvegarde en ligne professionnelle, le débit de la connexion Internet est un des facteurs déterminants.

L’outil que nous avons référencé (Speedtest) vous permet de mesurer très simplement la vitesse montante et descendante de votre connexion Internet.

Un débit montant important vous permettra d’automatiser la sauvegarde d’un volume de données mouvementées conséquent. Le volume des données mouvementées n’est pas lié au volume « brut » des données : il est déterminé par le travail de la sauvegarde incrémentale en mode bloc et la déduplication des données.

Un débit descendant important conditionne votre capacité à restaurer rapidement les données critiques à l’exploitation.

Vous trouverez cet outil là : Test de débit Internet

A votre écoute

Si vous pensez que nous pouvons vous proposer d’autres outils de ce genre, n’hésitez pas à nous le faire savoir par notre formulaire de contact. Nous restons toujours à votre service et à votre écoute !

Pourquoi sauvegarder ses données ?

Pourquoi sauvegarder ses données ?

La perte de données est un phénomène fréquent, touchant toute les tailles d’organisations et entrainant des conséquences parfois désastreuses.

Des chiffres éloquents

Plus parlant qu’un long discours, les chiffres (réels) sont extrêmement alarmants :

  • 20% des ordinateurs portables font l’objet d’un sinistre (crash disque, destruction, vol…)
  • 80% des PME ne survivent pas à un sinistre informatique entrainant la perte de leurs données
  • 95% des employés ont déjà perdu des données représentant de 1 heure à plusieurs jours de travail
  • 99% des entreprises françaises sont dépendantes de l’informatique
  • 110 millions d’employés dans le monde ont été victimes de perte de données sur le premier semestre 2010
  • 251 jours est l’intervalle moyen entre deux vols d’ordinateurs portables pour une PME en Europe
  • 17 000 € c’est le coût moyen d’un portable perdu pour une entreprise

Ne prenez pas ces chiffres à la légère !

La protection des données de l’entreprise, et en particulier des données fiscales, relève de l’obligation légale de ses dirigeants.
Aussi, la décision de sauvegarder vos données professionnelles ainsi que le choix d’un mode de sauvegarde relèvent de décisions stratégiques pour l’entreprise. Peu importe que vous choisissiez la sauvegarde en ligne professionnelle, la sauvegarde de données de santé pour votre sauvegarde serveur ou votre sauvegarde NAS, il est indispensable de protéger ses données !

Un service à valeur ajoutée

Bien souvent, la sauvegarde est comparée à une assurance, mais en réalité, c’est bien plus que cela.
Comme une assurance, elle vous aide à redémarrer après un sinistre majeur. En plus de cela, un système de sauvegarde bien pensé, vous permet d’éviter de perdre du temps (employés et informaticiens) à rechercher ou à recréer les données.

Prestataire de sauvegarde

Contactez-nous, nous vous aiderons à définir quelle solution de sauvegarde entreprise peut protéger efficacement vos données.
Nos offres de sauvegarde permettent d’automatiser la sauvegarde serveur, NAS, postes clients et postes nomades. L’ensemble de nos solutions, qu’il s’agisse de sauvegarde en ligne ou de sauvegarde centralisée, ne nécessite pas d’investissement et nous engage contractuellement auprès de nos clients.

N’attendez-pas qu’il soit trop tard !